Ce lundi 27 juillet 2020, tandis que le procès opposant Johnny Depp et The Sun touche à son terme, le nom de l’ex-épouse de l’acteur, Vanessa Paradis, a encore fait irruption.

Depuis le début de cette longue bataille judiciaire entre Johnny Depp et le tabloïd britannique The Sun, Vanessa Paradis n’a jamais cessé d’être cité, tantôt pour inculper le héros du pirate des Caraïbes, tantôt pour le disculper.
Pour rappel, l’acteur avait intenté cette action en justice suite à la publication du magazine le qualifiant, sans autre forme de procès, de « cogneur de femme », une information tirée certainement de sa dernière femme Amber Heard qui s’est rangée dans cette affaire du côté de la presse people.

A un jour de la date prévue pour sa clôture, le procès a encore connu un développement nouveau et inattendu. En effet, selon le magazine people « Metro », l’actrice française a été, une fois de plus, indiquée durant l’audience du 27 juillet dernier.

Des témoignages plus accablants pour Johnny Depp.


Pour cette fois-ci, le témoignage a rapporté des mails que l’interprète de Jack Sparrow auraient échangés avec la célèbre chanteuse française, Vanessa Paradis. Des messages dont le contenu met en évidence des propos qui dénotent un langage plein de grossièreté et surtout de mépris envers le « deuxième sexe » (misogyne).

En outre, l’avocate de la partie avait encore montré plusieurs d’autres messages de Johnny Depp où il décrit toujours les femmes de façon inconvenante avec beaucoup de dénigrement. Et selon toujours cette avocate, même la mère de ses deux enfants Lily-Rose et Jack n’a pas été épargnée par ses adjectifs discriminatoires. Cependant, Johnny Depp s’est expliqué en avançant que ces lettres ont été rédigées, rien que pour faire une plaisanterie…Il a même refusé de faire apparaître à la barre son ex-femme jugeant que c’était inutile.

Bref, Vanessa Paradis ne sera donc pas entendue pour ce procès malgré l’annonce de son intervention par appel visio au tout début de cette affaire tout comme celle de Winona Ryder d’ailleurs.

« Je n’ai pas besoin d’appeler Mme Paradis ou Mme Ryder »,avait donc clamé David Sherborne, l’avocat en charge d’accompagner l’acteur au tribunal, sous prétexte que, déclarait-il devant la cour, son client n’a « jamais frappé une femme de sa vie ». Puis il poursuivait en affirmant que « dans de telles circonstances, il n’est donc pas nécessaire d’entendre ces témoins, même si ce serait un plaisir de les avoir ici ».