Après avoir incriminé l’agence immobilière Barnes qui s’est servie de sa réputation pour faire valoir une villa à Peymeinade afin de faciliter la vente, Brigitte Bardot a fait, il a quelques jours, machine arrière. Dans un Tweet, posté ce jeudi 30 juillet, l’actrice avait fait son mea culpa.

Brigitte Bardot serait-elle réagit sous le feu de l’action sans même prendre la peine de vérifier l’information, au point de commettre l’irréparable?

« Qu’on me foute la paix! »


Pour rappel, le mardi 28 juillet dernier, la star du cinéma français, via son compte Twitter, avait scandéune énorme escroquerie dont elle était la cible. Selon ses propos, l’agence immobilière Barnes aurait fait, délibérément, usage de son patronyme pour convaincre facilement les potentiels acheteurs d’une de leurs villas. Leur principal argument de vente serait de soutenir que Brigitte Bardot y aurait résidé.

Et comme il fallait s’y attendre, qui s’y frotte s’y pique. « Une escroquerie de taille inventée par l’agence Barnes« , débutait-elle, avant de poursuivre : « Je ne connais pas cette propriété, je n’y ai jamais mis les pieds, je n’en suis pas la propriétaire ».

Puis tout de suite après, elle lançait l’ultime offensive à l’endroit de l’auteur de l’affront : « mon avocat intente un procès en dommages et intérêts à Barnes ». « Qu’on me foute la paix! », Avait-elle conclu.

Deux jours plus tard, soit le jeudi 30 juillet, se rendant certainement compte de son erreur, elle avait refait la même démarche mais pour cette fois-ci, c’était pour présenter ses excuses à l’agence Barnes.

« J’ai indiqué par erreur dans mon tweet précédent, et j’en suis sincèrement désolée, que l’agence Barnes commercialiserait cette fameuse maison de Peymeinade dont j’ignore tout ! Il semblerait que ce soit Christie’s International Real Estate et non Barnes », déclarait donc Brigitte Bardot tout en mentionnant au passage qu’après tout, « cela ne change rien sur le fond ».

De plus, au sujet de la villa en vente, sa position reste inchangée. « Je n’ai rien à voir avec cette maison et je ne veux pas que l’on associe mon nom abusivement pour battre monnaie sur mon dos », réitérait-elle.

Par contre, l’agence Barnes ainsi que « les équipes sont profondément affectées » par la fausse accusation. Elle n’avait donc pas manqué l’occasion pour rappeler, comme l’avait indiqué Var Mation, leurs valeurs fondamentales ainsi que leur passion.