La sentence est tombée ce 20 juillet pour Bar Refaeli, reconnue finalement coupable de fraude fiscale. Rappelons-le, les autorités israéliennes couraient après les Refaeli depuis l’année 2015.

Bar Refaeli plaide coupable.


La Top model israélienne faisait, en effet, l’objet d’une enquête de longue haleine durant de nombreuses années pour avoir simulé vivre dans une résidence qui s’avérait « fictive » en dehors du territoire israélien. Elle vient d’être condamnée d’une amende de 2,5 millions de shekels soit 638 000 euros.

En plus de neuf mois de travaux d’intérêt général dans son pays, le tribunal de Tel-Aviv lui exige également, au passage, de s’acquitter de ses dettes fiscales. Elle a, en effet, plaidé coupable d’avoir procuré des déclarations mensongères quant à ses rentrées d’argent de ces dernières années et au temps qu’elle ait été supposé résider à l’étranger dans le but de contourner les payements des impôts israéliens.

Tzipi Refaeli tombe également !


Tzipi Refaeli, sa mère, par contre, devrait purger en prison pour une durée de 16 mois en plus d’une amende fixée à une somme similaire à celle de sa fille.

Une polémique de plus !


Par ailleurs, l’ancienne compagne de Leonardo DiCaprio est à son énième polémique en Israël. En 2003, par exemple, elle s’est retrouvée au centre d’un vif débat la fois où elle s’est mariée à une connaissance de son père, et avec qui elle s’est empressée de se séparer afin de ne pas être contraint aux deux années de services militaires obligatoires. A titre d’informations, En Israël, on ne peut échapper au service militaire que pour deux raisons : le mariage ou la grossesse.

En 2015, aussi, du temps de la célébration de son union avec le businessman israélien Adi Ezra, la jeune femme de 35 ans a fait une requête comme quoi elle souhaitait que l’espace aérien au-dessus du lieu où se tenait la cérémonie soit fermé. Ce qui a fait beaucoup d’agacés.
La dernière en date, c’est lorsque Bar Refaeli enlève un niqab dans une pub pour vêtements, une marque israélienne, Hoodies, sur la « liberté ». Une publicité qui, dès sa publication sur Youtube, a suscité la controverse et a été jugée d’islamophobe.