Dans son ouvrage « Le droit d’être libre », le Garde des sceaux a dévoilé la chanson française pour laquelle il ne peut s’empêcher de se mettre en pleurs.

Eric Dupond-Moretti a accédé au portefeuille ministériel de la Justice le lundi 06 juillet dernier. Avant de mener une carrière en politique, le célèbre avocat pénaliste français a déjà pondu de nombreux ouvrages entre autres Bête noire : condamné à plaider, Ma liberté, Directs du droit ou encore Le droit d’être libre. Il s’agit de son dernier livre, fruit de nombreux entretiens avec le journaliste Denis Lafay.

Il y évoque spécialement un tube français qui arrive toujours, et ce sans faute, à le remplir d’émoi. Il s’agit du titre de Serge Reggiani intitulé Si tu me payes un verre, reprise par sa compagne Isabelle Boulay. « Éric m’avait confié ‘pleurer’ à la voix qu’elle pose sur ‘Si tu me payes un verre’ « , avait noté Denis Lafay.

Depuis 2016, la chanteuse québécoise Isabelle Boulay, 48 ans, est en couple avec le ministre de la Justice de 59 ans. Comme dans bon nombre de rencontres amoureuses, ils se sont connus par l’intermédiaire de leurs amis en commun.

« C’est un moment magique ».


Lors d’un entretien accordé au magazine Gala, au printemps 2019, il était revenu sur le coup de pouce qu’Isabelle Boulay lui avait donné avant qu’il ne se mettait en scène pour son spectacle À la barre.

« Je voulais éprouver ce qu’Isabelle ressent avant de monter sur scène. Quand vous allez voir une artiste de son calibre chanter, c’est un moment magique. Par sa voix, par ses qualités d’interprète. Et en même temps, j’ai toujours la trouille qu’elle se prenne le pied dans le micro, par exemple. Je ne suis pas un spectateur lambda. Avec elle, j’ai peur. Derrière, il y a un travail colossal. Je voulais un peu éprouver cela… » racontait celui qui est surnommé l’Acquittator (au vu du nombre important d’acquittements qu’il a obtenu tout au long de sa carrière, un record de 145, NDLR).

Le couple s’était retrouvé séparer au cours de la période de confinement comme il l’a confié à Nice-Matin. « Ce n’était pas du tout volontaire, on a été pris de court. Je me suis retrouvé loin de ma famille, loin de ma compagne confinée sur la banquise… ».