Bien que Laeticia Hallyday et Laura Smet aient fini par trouver un accord concernant l’affaire d’héritage de l’idole des jeunes, la trentenaire reste très acerbe dans ses critiques vis-à-vis de sa belle-mère.
Et à cet effet, elle a lâché les chevaux au micro de RTL lors d’une entrevue exclusive diffusée ce mercredi 15 juillet. Elle en a profité mêmement pour évoquer les derniers moments d’agonies de son regretté père à Marnes-la-Coquette où l’actuelle compagne de Pascal Balland l’ait contrait à suivre des règles strictes pour avoir le droit d’être au chevet de Johnny Hallyday.
« L’irréparable » !
L’épouse de Raphaël Lancrey-Javal assurait, en effet, avoir accepté de faire une concession avec Laeticia Hallyday pour uniquement deux raisons : vouloir vite en finir avec cette histoire sombre de bataille judiciaire qui les rongeait plus de deux ans et demi et se consacrer enfin au nouveau chapitre de sa vie qui est entrain de s’écrire : sa maternité. Sauf que malgré tout, entre elles, la limite infranchissable a été belle lurette déjà dépassée. La maman de Jade et Joy Hallyday « a commis l’irréparable » !
« J’étais avec ma mère ce jour-là, on a attendu quatre heures dans le salon qu’on puisse dire au revoir à mon père parce que je savais que c’était imminent. Ce que je sais aussi, c’est qu’on n’a pas dit à mon père qu’il était en soins palliatifs et qu’il était toujours sous traitement.
Mon père ne savait pas qu’il allait mourir. Commence-t-elle, en se rappelant les derniers instants qu’elle a vécu dans la résidence Marnes-la-Coquette, avant de rajouter : Donc vous voyez, je vous dis des choses qui sont quand même très intimes, mais qui sont pour moi une déchirure que je ne pourrai jamais guérir(…) Je ne peux pas laisser passer certaines choses ».
Laeticia lui imposait des règles alors qu’elle pleure son père !
Elle ne pourrait jamais, ô grand jamais oublier cette grande peine qui l’a submergée devant Laeticia qui lui imposait des règles draconiennes pendant qu’elle pleurait son père.
« Je voulais me recueillir chez lui dans le bureau qui a été transformé en chambre d’hôpital au moment de son décès, je n’avais pas le droit de prendre mon téléphone portable(…) Mon mari n’a pas pu rester avec moi, j’étais toute seule dans cette maison et je ne suis pas restée très longtemps(…) j’avais juste besoin de sentir une dernière fois mon père » poursuivait-elle.
Pour Laura Smet, un retour en arrière est tout juste impossible et ce pour toute la vie.