L’épisode des « Z’amours » diffusé ce vendredi 31 juillet 2020 était marqué par un événement extraordinaire qui a, particulièrement, touché Bruno Guillon ainsi que l’ensemble du public. C’était un instant d’une pure magie!

Partout dans le monde, quelles que soient les circonstances de la vie, les appartenances socioculturelle et professionnelle, les gens débordent toujours d’imagination quand il s’agit de demander leur partenaire en mariage. Un des couples des « Z’amours » pour cette nouvelle édition du 31 juillet ont en fait la preuve.

Au tout début de l’émission, les deux tourtereaux, Jocelyne et Bruno, étaient présentés comme fiancés. Avant l’entame de la dernière manche, les participants ont été confrontés à la fameuse question qui, à chaque reprise, laisse toujours à penser. « Dans quel cas votre chérie vous ferait-elle passer au détecteur de mensonges ? », leur posait-il Bruno Guillon.

Les différentes propositions de réponses sont les suivantes: “Plus tu vieillis, plus tu t’embellis”, “Je n’ai jamais aimé aucune autre femme que toi” ou encore “quand est-ce qu’on se marie, j’en meurs d’envie ? »

« Est ce que tu veux devenir ma femme ? ».


Pour Jocelyne et Bruno, les réponses ne se concordaient pas. Mais par la suite, l’homme avait bien rectifié le tir en profitant du thème sur le mariage. Le candidat a entonné sa compagne avec un « discours » qu’elle n’avait jamais entendu sortir de la bouche de son partenaire après huit longues années de vie commune.

En effet, en plein direct de l’émission, Bruno avait demandé la main de Jocelyne. En position demi-assise, un genou posé sur le carrelage du plateau, il prononçait chaleureusement et à haute voix l’éternelle « phrase magique » : « est ce que tu veux devenir ma femme ? ».

Pour rendre à cet instant sa magnificence, les téléspectateurs avaient salués le geste du gentleman avec un fervent applaudissement avant même que la future mariée ne se prononce.

Mais pour tout le monde, la réponse sonnait déjà comme une évidence. Ce qui a enclenché l’ultime décompte du public en attendant que la femme se décide enfin.
Très complice, Jocelyne attendait volontairement la fin du décompte pour dire oui à son prince charmant.