Dans son nouvel ouvrage intitulé « Le temps des tempêtes », Nicolas Sarkozy raconte ses débuts difficiles en tant que chef de l’Etat, son incommensurable solitude où il livre, à cœur ouvert, le comment et le pourquoi de son divorce avec Cécilia, en 2007, en s’attardant surtout sur les conditions « extraordinaires » dans lesquelles cette séparation s’est déroulé.
A environ un an après l’immense succès de l’ouvrage autobiographique « Passions », Nicolas Sarkozy envahit de nouveau les librairies avec une nouvelle signature titrée « Le Temps des Tempêtes », sortie le vendredi 24 juillet dernier.
C’est un livre qui porte bien ses empreintes pour ne pas déjà le paraphraser « ses tempêtes » puisque « ¨Pour moi, confiait-il à Figaro, ce ne sont pas des mémoires froides, pas des analyses de textes, c’est plus vu de l’intérieur ».
Ainsi, on ne peut pas ne pas lui accorder le bénéfice du doute car l’ancien président, mis à part les récits politiques, il déballe, sans complexe, des détails de sa vie intime à l’exemple de sa rupture avec Cécilia Attias, ordonné en 2007, à cinq petits mois seulement de se son investiture à la magistrature suprême. Une épreuve qui lui a coûté beaucoup.
C’est « Cécilia qui avait demandé le divorce.
C’est « Cécilia qui avait demandé le divorce, débutait-il pour une longue confidence. Et « Je n’avais rien anticipé. Je n’y avais rien compris. Je subissais sans pouvoir contrôler une situation, qui, chaque jour, devenait plus incompréhensible », poursuivait-il (ndlr Figaro).
Et de rajouter , avec un ton cette fois-ci, un peu plus dépersonnalisé : « Il fallait mettre un terme à une situation qui pouvait virer au ridicule à tout moment », avant de rapporter les réunions et discussions avec leur avocate commune.
L’ultime détail qui fait sourire…
Pour Nicolas Sarkozy, qui voulait en finir au plus vite avec cette histoire, il a fini par simplifier les choses. « Je lui indiquerai donc mon accord. Je la laissai fixer les conditions et choisir l’avocate qui organiserait notre séparation, » racontait-il.
Actuellement, il lui arrivait de penser à un épisode particulier qui lui faisait, disait-il, « sourire ». »Il m’arrive de sourire en les imaginant toute les deux seules dans le bureau du président de la République alors que j’en étais sorti pour qu’elles puissent s’entretenir !, se confiait-il avant de conclure : « Je venais de vivre dans un cadre extraordinaire ce que des millions de Français avaient connu dans leurs vies quotidiennes. »