En ce début du mois d’août, l’émission Qui veut gagner des millions revient sur le petit écran. Officié par Camille Combal, le jeu garde les mêmes principes d’antan. Petit changement ! Elle se fait dans les règles du Covid-19.

Camille Combal est aussi sévère que Jean-Pierre Foucault ! Aux manettes de la légendaire émission Qui veut gagner des millions ?, diffusée sur la une, Camille Combal reçoit également des personnalités qui tentent par tous les moyens de répondre au maximum à ses questions de culture générale afin de décrocher le jackpot en vue de repartir avec le plus de gains possibles. Des gains qui serviront à soutenir des associations.

Dans la soirée de ce 1er août, c’est Patrick Sébastien , le candidat à débuter le divertissement. Pour cette nouvelle saison, tournée dans les règles du Covid-19, ce sont Julie de Bona, Guy Lecluyse, Gérard Jugnot, Samuel Le Bihan, et aussi Mathieu Madénian qui viennent jouer respectivement au profit de l’institut Curie, le Rire médecin, Magie à l’hôpital, la Fondation pour la recherche médicale et Autisme info service.

Les stars se mettent plus de pression étant donné qu’elles participent au nom d’une noble cause. « La différence majeure, c’est que les personnalités ne jouent pas pour elles, mais pour des associations. Ça change tout. (…) Donc, quand les célébrités arrivent, elles sont assez tendues, elles ont le trac », expliquait Laurence Jomand , la productrice de l’émission au micro de Ouest-France.

« Être chez eux ne leur a en aucun cas retiré leur trac ».


La productrice avouait ne pas s’attendre à ce que le jeu animé par visioconférence interposé puisse encore provoquer les mêmes émotions que sur le plateau « J’ai pensé que, puisqu’ils jouaient depuis chez eux, il n’y aurait pas cette tension.

En fin de compte, on a eu des moments de rigolade et de détente, mais on a eu aussi des moments de tension parce que les invités sont seuls, contrairement à l’émission habituelle, où ils jouent à deux. Être chez eux ne leur a en aucun cas retiré leur trac. Pour moi, le résultat était extrêmement positif ». Et de poursuivre : « Toutes les questions sont enregistrées avec un niveau de difficulté et, quand on arrive sur le plateau, l’ordinateur va aller chercher une question de niveau 1, 2, 3… jusqu’à 15 ».